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11 Mai 2020 - Institutionnel
Vous allez changer votre petit environ 5 000 fois avant qu’il aille sur le pot tout seul, ce qui représentera près d’une tonne de déchets.
L’ADEME, l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie, a réalisé une étude qui tend à prouver que les couches jetables représentent 6 % des tonnages de déchets ménagers totaux en France, le deuxième déchet après les bouteilles. Les couches jetables représentent en moyenne 40 % des déchets ménagers d’un foyer ayant un enfant entre 0 et 2 ans. Elles sont un réel poison pour l’environnement et la biodiversité, car elles sont enfouies (pollution des eaux et des sols) ou incinérées (pollution de l’air et des sols, entre autres). Dans certains pays, elles se retrouvent même dans des décharges à ciel ouvert ou se retrouvent dans les océans.
Pour appréhender réellement l’impact de l’utilisation de la couche lavable Hamac, nous avons réalisé une Analyse de Cycle de Vie (certifiée ISO 14040 et 14044) comparant la couche lavable Hamac et jetable. Les résultats sont impressionnants :
Une étude de l’ADEME estime que l’équivalent d’une tasse de pétrole est nécessaire à la fabrication d’une couche jetable, soit environ 4,5 arbres et 25 kg de plastique obtenu grâce à 67 kg de pétrole brut jusqu’à la propreté de l’enfant.
Il devient donc indispensable de limiter l’utilisation de couche jetable. Pour rendre hommage au Vanuatu d’avoir interdit les couches jetables, mais aussi les couverts, gobelets et touillettes en plastique, et divers emballages alimentaires, nous avons imaginé un maillot-couche éponyme rappelant le Pacifique.
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